La biographie

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ARTISTE PEINTRE AUTODIDACTE

Née le 13 décembre 1958, à Nevers
Vit et travaille dans les Monts du Lyonnais
Artiste Peintre (Maison des Artistes)
Inscrite à l’ADAGP

Membre de la Fondation TAYLOR

Galerie Pandem’Art – Béthune

Galerie « Bouillon d’Art » à Bordeaux

Interventions, organisation et réalisations artistiques nombreuses depuis 1979

Cours et Stages pour adultes de 1979 à 2019

Ils se sont impliqués pour moi

➔ Rencontre avec les artistes Daniel Lacomme, Arlette Lemore, Michèle Taupin (de 2002 à 2005)

➔ Elève de Ben Ami Koller (2005 à 2008)

 ➔ Rencontre avec J. C Fontana (peintre) en 2010
➔ Rencontre avec Giancarlo Bargoni (Peintre abstrait) en 2011

Techniques

➔ TECHNIQUES MIXTES sur papier, sur carton ou sur toile

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L’artiste vit un secret qu’il lui faut manifester.. Je ne peux rien dire, rien expliquer.. La toile ne vient pas de la tête, mais de la vie.. Il faut sauter, sauter dans l’inconnu..

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GOYA

Ma recherche est le lien essentiel qui relie les hommes à la nature, à d’autres vies … je peins les connections, le mouvement, les mues… souffle de vie. La source est à découvrir en dedans, à l’intérieur, un mouvement intra-utérin qui guide en une aventure où les mots ne savent quoi dire.Je puise l’énergie profonde qui induit l’état de peindre, état magique où je deviens fragile, au plus profond de moi-même.. Je danse, telle sur un fil, m’approche de l’abîme, du néant, du rien … et m’éloigne des recettes, du fabriqué, du savoir, pour explorer de nouvelles écritures. Chaque toile est une quête, un défi. Je trouve l’équilibre, la résonance de la vie au travers de mon expérimentation, étapes fébriles de constructions et déconstructions cherchant à faire émerger l’invisible du visible. Je donne à voir les griffures du temps, stigmates des vicissitudes humaines, mise à nu de la fragilité de la vie. Mes « paysages d’âmes » sont des masques qui révèlent et cachent à la fois. Il ne reste que l’émotion, la force, la folie de la figuration défigurée.

                   
                   
                   
                   
I’m always looking for the essential link between man and nature and other lives. I paint connections, movement, transformations… the breath of life. The source is to be discovered inside, an intrauterine movement that guides into an adventure where words don’t know what to say. I find profound energy that induces painting, the magic state in which I become fragile in my deepest self. I dance on a wire, approach the abyss, the great nothing.. and get away from old recipes, staging, knowledge, to explore new writings. Each canvas is a quest, a challenge. I try to find an equilibrium, a resonance of life through my experimentation, fibril stages of construction and deconstruction attempting to make emerge the invisible out of the visible . I show the scars of time, stigmas of the human vicissitudes, baring the fragility of life. My “Paysages d’âmes” (“Landscapes of souls” ) are masks that reveal and hide at the same time. Only emotion, strength and the madness of disfigured figuration remain.

Mon univers, mes repères

Moments vécus, rencontres d’hier et d’aujourd’hui me reviennent en mémoire…

L’être humain, la nature, le théâtre, la musique me nourrissent et m’invitent à peindre.. Regard tourné vers le fond de soi-même.. regard qui peut etre posé sur nous.. Regard qui devient alors synonyme du vivant et de la relation avec l’autre dans la fragilité de l’existence et dans la force de la vie…

Magdalena Kruszynska- Historienne d’art

Moments vécus, rencontres d’hier et d’aujourd’hui me reviennent en mémoire….

L’être humain, la nature, le théâtre, la musique me nourrissent et m’invitent à peindre.. Regard tourné vers le fond de soi-même.. regard qui peut etre posé sur nous.. Regard qui devient alors synonyme du vivant et de la relation avec l’autre dans la fragilité de l’existence et dans la force de la vie…

Magdalena Kruszynska- Historienne d’art

La difficulté est de voir l’invisible…

Le peintre est un chercheur, il a besoin de se retirer du monde, pour pouvoir s’extraire du temps des hommes, pour rentrer dans celui de la méditation, et il n’y a que le silence qui permet cela..

Fabienne Verdier – « Passagère du Silence » Dessiner est l’emblème de tous nos combats cachés, intestins. Nous voyons là les entrailles de l’âme..

Hélène Cixous – « Repentirs »

La difficulté est de voir l’invisible…

Le peintre est un chercheur, il a besoin de se retirer du monde, pour pouvoir s’extraire du temps des hommes, pour rentrer dans celui de la méditation, et il n’y a que le silence qui permet cela..

Fabienne Verdier – « Passagère du Silence » Dessiner est l’emblème de tous nos combats cachés, intestins. Nous voyons là les entrailles de l’âme..

Hélène Cixous – « Repentirs »

"Regarde plus loin que la poussière"

Maître chinois – « Peinture t’chan »

Quand je peins un arbre, je deviens arbre. Quand je peins l’eau, je deviens l’eau. Quand je peins une tectonique, une tellurique de la montagne, je deviens tectonique, et la chose naît d’elle même. Je la vis intensément avec mon cœur, et elle apparaît, par moment, de manière abstraite, de cette manière là..

Fabienne Verdier – « Passagère du Silence »

"Regarde plus loin que la poussière"

Maître chinois – « Peinture t’chan »

Quand je peins un arbre, je deviens arbre. Quand je peins l’eau, je deviens l’eau. Quand je peins une tectonique, une tellurique de la montagne, je deviens tectonique, et la chose naît d’elle même. Je la vis intensément avec mon cœur, et elle apparaît, par moment, de manière abstraite, de cette manière là..

Fabienne Verdier – « Passagère du Silence »